Où-Quand-Pourquoi?

Cuenca constitue la première étape de notre séjour en Equateur.

Nous y sommes restés 6 jours en mai 2019 mais nous avons exploré les alentours depuis la ville.

Cuenca c’est une très belle ville des Andes du Sud de l’Equateur. Elle est très réputée pour son architecture coloniale et son artisanat (on y trouve les fameux chapeaux « Panama »).

Transports

Depuis le Pérou il y a un bus avec la compagnie Super Semeria.

Nous l’avons pris depuis Chiclayo (13h de bus). Il passe par Mancora.

Le passage de la frontière se fait vers 2h du matin. La sortie du Pérou et l’entrée en Equateur sont dans le même office.

Cette compagnie de bus est assez horrible (conduisent comme des fous (courant au Pérou), sont sur leur téléphone au volant, font des dépassement de vitesse…) mais je crois qu’il n’y a pas beaucoup de choix.

Il y a de nombreux taxis et bus.

La ville étant petite, il est facile de se déplacer à pieds.

Depuis le terminal de bus de Cuenca il y a de nombreuses agences qui proposent des transports vers Quito. Il y a des bus qui partent le matin, un l’après-midi et trois le soir.

Durée : minimum 7h

Tarif : 12 USD

Hébergement

Nous avons logé au Latinos Brothers House Cuenca hôtel.

C’est une maison typique de la ville, très originale avec un aménagement sympa.

Les chambres sont spacieuses et propres. Ils prêtent des serviettes de douche.

Il y a une douche unique pour tout le monde (un peu dommage mais pas bien grave) avec de l’eau chaude, et plusieurs WC.

La cuisine est grande et bien aménagée. Il y a tout pour cuisiner dont un four.

Il y a possibilité de prendre le petit déjeuner pour moins de 3USD et c’est très bon.

Il y a de l’eau chaude à disposition et un coin TV.

Le personnel est super sympa.

Comptez 13USD la nuit en chambre double et 7USD en dortoir.

Je recommande!

Adresse: Calle Luis Cordero Presidente Cordova, 010104 Cuenca, Équateur

Activités

Voici une liste de ce que nous avons fait dans la ville mais aussi à l’extérieur en prenant des bus depuis le terminal de Cuenca. Prenez le temps de flâner dans la ville, elle est très jolie, il y a de nombreuses places avec des marchés en tout genre et de nombreuses églises.

Quoi : Tour de la ville avec un guide. Plutôt sympa si vous voulez avoir des renseignements historiques et architecturaux. Il vous amène aussi au marché du 10 de Agosto pour vous montrer les plats typiques. Certains commerçants font même goûter!

Où : Rendez-vous tous les jours à 10h sur la place principale.

Combien : C’est gratuits mais ils s’attendent à ce que vous donniez un pour-boire.

Quoi :  Ce sont les époux Cordero-López qui, en 1970, décidèrent de créer une collection d’objets archéologiques. Leur objectif  était de favoriser la recherche scientifique et de sauvegarder le passé précolombien de l’Équateur. Ce musée contient des milliers de céramiques, poteries et autres objets des diverses cultures équatoriennes. Il est très chouette. On a quelques informations sur les différentes cultures aussi et pourquoi certains des objets étaient réalisés de telle façon. Ils fournissent un fascicule très complet en espagnol mais il nous aurait fallu la nuit pour tout lire. Le musée se trouve dans un jolie maison ancienne.

Où : Calle Larga 5-24, Cuenca

Combien : 4 USD

Quoi : Petit musée boutique qui retrace les différentes étapes de fabrication des fameux Panamas. Vous pourrez voir les outils utilisés. Il y a des personnes qui travaillent encore pour en fabriquer. Il y a une très grande boutique avec un large choix de Panamas de toutes les formes et toutes les couleurs (et tous les prix…).

Où : Calle Larga 5-24, Cuenca

Combien : Gratuit.

Quoi : Ce musée est très intéressant car il donne des explications sur les différentes cultures que l’on rencontrait dans le pays. Ils présentes les caractéristiques principales de chacune, et font des sortes de mises en scène avec des sculptures et mannequins. Il y a également des expositions temporaires et à l’extérieure, dans le joli jardin, vous trouverez des ruines incas (vestiges de Tomebamba, une des plus importantes cités de l’empire inca) et une volière avec de magnifiques oiseaux.

Où : Calle Larga, Cuenca 010107

Combien : Gratuit.

Ce sont deux villages pas loin de Cuenca.

On nous a vendu du rêve mais il n’y a absolument rien à Sigsig et à Chordeleg il y a plein de vendeurs de bijoux en or et en argent (pas spécialement jolis).

Comment : Depuis le terminal de bus, il y a une taxe de 0,10USD à payer + ticket de bus 1,75USD depuis Cuenca à Sigsig. Le ticket Sigsig-Chordeleg coûte 0,75USD. Chordeleg-Cuenca, 1USD.

Durée des trajets : Très variable. Pour aller à Sigsig nous avons mis 2h15 et sur le retour 1h.

Quoi : Une jolie place où des dames au Panama vendent de magnifiques fleurs. Les locaux les achètes pour en faire des offrandes dans les églises (entre autre). C’est toujours très animé. Le soir il y a des petits vendeurs de street food.

Où : Devant l’église Santuario Mariano.

Quoi : Mirador depuis lequel on peut admirer la ville. C’est joli mais pas d’un grand intérêt. Les locaux préfèrent y aller le soir pour y voir les lumières de la ville.

Où : Av Mirador de Turi, Cuenca

Comment : A pieds, en bus ou en taxi (moins de 3USD).

Quoi : C’est le site archéologique pré-colombien le plus important et le mieux conservé d’Equateur. Ce site se trouve dans la province de Cañar. Il a été construit par la civilisation Cañari, puis les Incas sont venus conquérir la région et s’en sont emparé. Ils ont ensuite bâti le temple du Soleil, qui se trouve au centre du site, et c’est alors que ce lieu est devenu un important centre religieux, politique, scientifique, militaire et administratif. Le temple a été édifié avec de la pierre verte volcanique et il est situé sur un talus de forme ovale dont l’axe principal est orienté presque exactement dans une direction est-ouest, où la lumière éclaire chaque angle, de façon à remplir sa fonction culte-administrative. C’est entre le 20 et le 21 juin, jour du solstice d’été, que le soleil atteint son point le plus haut ou le plus bas dans le ciel, et que la durée du jour ou de la nuit est la maxime de l’année; c’est alors qu’est célébrée la fête de Raymi dans le site archéologique. L’Inti Raymi, la fête sacrée en l’honneur de Taita Inti, ou Père Soleil, est célébrée autour de ce complexe archéologique réunissant des centaines de personnes qui célèbrent diverses activités telles que l’élection de Ñusta, les danses folkloriques et la musique Salons andins, gastronomiques et artisanaux.

Où : A 2h-2h30 de Cuenca en bus.

Comment : Depuis le terminal de bus de Cuenca, il y a un bus qui y va. Le bus coûte 3,50 USD et il faut payer les 0,10USD de taxes de terminal de bus. Il n’y a pas beaucoup de bus qui partent et reviennent du site. Il y en a un qui Part à 9h ou 12h30 et il repart du site à 13h30 ou 15h45.

Combien : L’entrée du site coûte 2USD par personne; la visite est guidée et dure un peu moins de 45minutes.

Quoi : C’est un parc où l’on peut faire une multitude de randonnées allant de 3h à 12h. Il est possible d’y passer une journée ou de rester dormir sur place. On trouve de nombreux lacs, et une faune et flore très riche.

Où : Il se trouve à moins d’une heure de Cuenca en Bus.

Siteweb: http://parque-nacional-cajas.org/tracks.html

Nous sommes allés au marché du 10 de Agosto pour acheter nos fruits et légumes.

Le marché est grand, propre et sympa. Il y a de tout; on y trouve même de la viande.

A l’étage il y a de petits restaurants où l’on peut déjeuner pour moins de 5USD.

Le marché ferme à 18h30 et est ouvert tous les jours.

Adresse:  Calle Larga 1147, Cuenca

Quoi : Cette grande cathédrale domine la place principale de la ville. Les habitants l’appellent aussi la « nouvelle cathédrale », par rapport à l’ « ancienne cathédrale » qui se trouve de l’autre côté, qui était devenue trop petite pour la ville. Sa construction a été mal dirigée par l’architecte de l’époque qui avait mal évalué le poids des deux tours. Elle est dont internée et il y a une fissure due au surpoids des matériaux, si vous regardez bien en haut au milieu en vous positionnant en face. La façade de la cathédrale a été réalisée en pierre rose et en marbre importé d’Italie.

Où : Mariscal Sucre, Benigno Malo Cuenca

Combien : L’entrée est gratuite mais il est possible de monter sur le toit (2USD) pour avoir une vue sur les dômes et sur la ville.

Quoi: Après un travail minutieux de restauration et de muséographie, l’ancienne demeure de l’illustre poète, diplomate et universitaire Cuenca « Remigio Crespo Toral », construite à la fin du XIXe siècle, a retrouvé sa splendeur, son élégance et sa majesté. Il est divisé en cinq étages et possède deux façades: l’une face à la Calle Larga et l’autre face à la rivière Tomebamba. Le premier conduit au premier étage, dans lequel a été développée la vie sociale de la famille et dont l’espace principal est la pièce jaune, reliée à deux petites pièces destinées à la musique et à un magasin d’alcool. Dans cette salle est actuellement exposée ce qui s’avère être un résumé du patrimoine gardé par le musée: 12 000 ans d’histoire représentés par un projectile d’obsidienne de la période paléoindienne, une pièce de poterie cañari et le premier livre « Cabildo de Cuenca ». À cet étage, il y a aussi les galeries de plantes (appelées ainsi parce que ce sont des espaces où l’épouse de Remigio Crespo, Doña Elvira Vega, a cultivé différents types de décorations florales avec soin), le bureau / salle de Crespo, une salle familiale, une chambre et une cave qui servait de peinture et de mobilier. Au dernier étage, un espace qui était autrefois réservé à l’étude du poète et quelques pièces pour ses enfants, repose aujourd’hui sur ce qui est considéré comme le « cerveau » du musée: les archives historiques de la ville de Cuenca. Depuis le rez-de-chaussée, on accède également par de magnifiques escaliers au premier étage du sous-sol, qui correspond aux pièces de la famille Crespo Vega, aux lieux de coexistence quotidienne, à la salle à manger et aux pièces de service. Les deuxième et troisième étages du sous-sol étaient destinés aux aires de service, aux entrepôts, à la cuisine et aux terrasses couvertes. Ils sont situés dans les réserves du musée, qui sont très bien protégées en tant que vitrine, afin que le public puisse les observer et avoir ainsi une expérience plus proche du patrimoine archéologique et artistique du musée. La somptueuse salle à manger se distingue également dans ces espaces, où une table ornée de vaisselle anglaise et de poteries indigènes a été symboliquement exposée, démontrant subtilement le caractère inclusif qui caractérise le Musée aujourd’hui.

Où: Calle Larga y Presidente Borrero

Prix: gratuit.

Il y a un joli café en bas où vous pouvez apprécier la vue sur la rivière. Les gâteaux sont très bons 😉

Visite d’une communauté : Kushi Waira

Petite section spéciale pour une rencontre exceptionnelle avec des membres de la communauté de Kushi Waira lors d’une excursion d’une journée.

Pour reprendre les informations du site, Kushi Waira est une division de la Fondation pour la santé communautaire Jambi Runa. La Fondation Jambi Runa opère dans six communautés de la paroisse de Tarqui, province d’Azuay, en Équateur, y compris les communautés de San Francisco, Chilcachapar et Chilcatotoras.

C’est une organisation à but non lucratif ayant la vision suivante dans les communautés autochtones de l’Équateur:

– Offrir une vie meilleure en

-Encourager la participation communautaire, la solidarité et la réciprocité

-Promouvoir la santé et le bien-être communautaires

-Renforcer leurs communautés – Prévenir les migrations

-Renforcer leur identité culturelle

-Créer des sources de revenus durables

L’organisation permet aux hommes et aux femmes, aux agriculteurs et aux organisations autochtones de contribuer à la promotion de la santé en organisant des programmes de tourisme locaux (à Kushi Waira), en produisant et en vendant du fromage (à Nukanchik Kawsay) et en partageant la culture locale (à Mama Kinua).

Kushi Waira est en opération pour aider à réaliser cette vision. Le centre gère plusieurs programmes de micro-tourisme communautaire qui créent des emplois pour les autochtones. Vingt pour cent des revenus générés par le centre culturel sont utilisés pour fournir des soins de santé aux enfants, aux personnes âgées et aux femmes enceintes.

Après 30 minutes de taxi depuis Cuenca nous arrivons à Kushi Waira. Cette communauté est constituée de seulement douze familles qui essayent de conserver leurs valeurs traditionnelles et de les faire découvrir à qui désire en savoir plus sur la culture Cañari.

Nous sommes accueillis par Alfonso. Il est très content de nous recevoir et nous invite à découvrir l’itinéraire de la journée dans sa maison traditionnelle. Sa femme, très souriante elle aussi, et habillée de façon traditionnelle, nous apporte un petit verre de « Canelazo », qui est une liqueur traditionnelle de bienvenue faite à base d’alcool de cane et d’épices.

Après cet accueil chaleureux et les explications d’Alfonso, nous entamons la marche pour aller en haut de Ingacuca et Hurcu Achapana : la montagne sacrée qui se trouve juste derrière le cottage et depuis laquelle nous pouvons voir la vallée et les montagnes environnantes. Alfonso nous explique que dans leur culture ils ont tous une petite parcelle de culture de maïs (qu’ils cultivent sans pesticides). Nous voyons de grosses maisons un peu éparpillées. Il nous dit que ce sont les jeunes qui partent à l’étranger et qui construisent de grosses maisons, mais que malheureusement ces gens ne sont plus intéressés par leurs traditions et c’est pourquoi ils essayent de faire en sorte que les enfants du village et d’autres ailleurs connaissent la culture et essayent de préserver les traditions.

Nous suivons ensuite un sentier nommé  »Jambiñan », ce qui signifie sentier de la médecine en Quechua. Alfonso nous montrera quelques unes des 150 plantes médicinales de la petite montagne qui leur sert de pharmacie. Il nous expliquera leurs propriétés curatives, et comment on les utilise (infusions, inhalation…). On retrouvera certaines plantes que nous avions déjà vues au Pérou dans la région Amazonas. Ces plantes sont utilisées par les habitants de la régions depuis des milliers d’années, bien avant la colonisation espagnole.

Il nous montrera également que sur certains arbres nous pouvons trouver des dizaines d’autres plantes. Le vents transportant le pollen sur les troncs. On verra aussi que certaines plantes peuvent pousser de façon différentes dans le même environnement.

Arrivés au bout du sentier, nous nous asseyons sur un banc et Alfonso nous pose des questions sur la religion, comment l’église est perçue en Europe etc. Des questions assez profondes qui laissaient sentir qu’il avait encore de la rancoeur par rapport à la colonisation et comment elle s’était passée. Il nous explique pourquoi la nature est aussi importante pour eux. C’est vraiment très intéressant.

Après ces réflexions, il nous invite à ôter nos chaussures et à méditer avec lui et à pratiquer les rituels dédiés à Taita Inti (le soleil), Mama Quilla (la lune), Pachamama (la terre mère), Kuillurs (les étoiles), qui sont les Dieux des Cañaris. Nous devons tout d’abord tendre les bras et nous tenir droit pour recevoir l’énergie de la  »Tierra Madre »; fermer les yeux, par respect pour la  »Tierra Madre » et ensuite inspirer par le nez et expirer par la bouche pour purifier notre corps. Nous faisons ensuite des mouvements avec nos mains et nos pieds, puis des sauts. Alfonso récitera des paroles en espagnol que nous répèterons et jouera des instruments.

Après ce moment de méditation unique, nous prenons un autre chemin qui mènera vers une partie de la Route de l’Inca (« Ingañan ») qui mène à Cusco au Pérou. De là nous pouvons voir la vallée et les différentes teintes que prend la terre.

Nous retrouvons la femme d’Alfonso, toujours aussi souriante, et cette fois-ci elle nous apporte le repas traditionnel, que l’on appelle « pampamesa » en Quechua. Alfonso étale un drap blanc sur l’herbe sur lequel il déposera les différents plats (« pollo criollo », « mote casado », « pepa de sambo », « aguitas aromaticas »…), sa femme nous sert de l’eau de pluie sucrée et avant de commencer à déjeuner nous récitons quelques paroles pour remercier la « Tierra Madre » et nous versons un peu de l’eau sur le sol pour partager avec elle. Nous constatons que les repas en Equateurs sont composés de beaucoup de maïs, sous toutes ses formes.

Nous en profitons pour discuter avec eux sur toutes sortes de choses (la contraception en Europe, le fait qu’ils ne soient jamais malade car ils ont un rythme et une nourriture saine, la médication en Europe etc…).

Après ce très bon repas, nous retournons au cottage où Alfonso nous montrera et nous fera une démonstration de nombreux instruments de musique traditionnels. Il nous explique qu’ils les fabriquent dans le village. Il fait partie d’un groupe qui s’appelle  »Kikintaquina » et qui signifie  »Notre musique ».

Après cette démonstration musicale, sa compagne se joint à nous pour nous montrer des danses traditionnelles, pendant que lui jouera de la musique. Nous serons invités à danser avec elle et à partager ce moment sympathique.

Nous irons ensuite tous ensemble dans le jardin faire le jeu qui consiste à bander les yeux de la personne, la faire tourner sur elle-même puis la laisser chercher l’instrument de musique caché à l’aide d’un bâton. Une fois trouvé, si la personne danse bien, elle gagne l’instrument de musique. Nous avons réussi et sommes repartis avec une jolie flute.

Nous rentrons ensuite dans la maison et là Alfonso et sa femme apporte différentes pierres à moudre qui servent à préparer les farines et sauces. Il nous montre comment s’en servir puis nous l’imitons et dégustons ce que nous avons préparés (nous avons mélangé la farine avec du sucre de cane, c’était très bon, et trempé des morceaux de maïs cuit (« mote ») dans la sauce pimentée).

Nous ressortons et ils nous proposent de faire une cérémonie avec des plantes pour nous purifier et enlever les mauvaises ondes. Nous tendons les bras et fermons les yeux pendant qu’Alfonso récite des paroles en espagnol, en tournant autour de nous avec un pot en céramique dans lequel brûlent des plantes aromatiques;  puis pendant qu’il récite d’autres paroles, sa compagne nous « frappe » avec des bouquets de plantes (qui sentaient très bon); puis Alfonso conclure la cérémonie en jouant d’un instrument à vent.

La journée se terminera par cette cérémonie, et nous repartirons enchantés de cette rencontre.

Où : Carolina Bookstore, Hermano Miguel 4-36 y Calle Larga (at the top of the Escalinata) à Cuenca

Comment réserver : Se rendre au Bookstore ou contacter:

Tour Coordinator: Alfonso Saquipay

Phone: +593997476337

Alfonso’s Home Phone: +59372440411

Contact Email: kushiwaira@gmail.com

Tarif : 20 -40 USD

Site web : http://www.kushiwaira.com

En plus d’apprendre de nombreuses choses sur la culture Canari, vous partagerez des moments extraordinaires avec deux personnes généreuses.

Nous avons adoré cette journée, nous avons goûté des spécialités locales, découvert des instruments de musique, découvert une nouvelle culture et échangé nos points de vue sur différents thèmes de la vie de tous les jours avec des personnes qui ne sont jamais allées dans notre pays. Nous avons aussi pu voir des rituels ancestraux et découvrir des danses traditionnelles.

C’était un grand moment de partage que je souhaite à tout le monde de vivre.

Bonnes Adresses

Pour prendre une bonne pause-café avec un bon gâteau et profiter d’une belle vue sur la rivière dans une belle maison, rendez-vous à la CASA MUSEO REMIGIO CRESPO TORAL à Calle Larga y Presidente Borrero.

Près du marché 10 de Agosto (Calle Juan Jaramillo), il y a deux très bonnes boulangeries, celle près du coin de la rue est meilleure (essayez-les de pan de leche).

Si vous aimez l’architecture, allez dans la rue Simon Bolivar. Vous y verrez de belles vieilles maisons avec leurs beaux balcons. Entrez dans certains des bâtiments (demandez la permission et profitez de leur patio). Il y a aussi plusieurs cafés sympas.

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